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Par La plume de N. Ghis. dans Poésies le 19 Décembre 2016 à 12:21...Quant, au hasard des nuits, le cafard me prenait. Sur mon lit de ferraille, dans le noir, je pleurais En fixant, sans la voir, la veilleuse du dortoir. Les pleurs n'avaient pas cours dans ces pensions sans nom. Nous n'avions pas le droit de nous laisser aller. Nous étions surveillées et gare...
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Par La plume de N. Ghis. dans Poésies le 3 Avril 2016 à 12:06...Quant, au hasard des nuits, le cafard me prenait. Sur mon lit de ferraille, dans le noir, je pleurais En fixant, sans la voir, la veilleuse du dortoir. Les pleurs n'avaient pas cours dans ces pensions sans nom. Nous n'avions pas le droit de nous laisser aller. Nous étions surveillées et gare...