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La plage étrangère
La plage étrangère
Sous les palmiers penchés d'une plage étrangère
Sur le sable doré d'une plage d'été
J'étais là, solitaire et marchais sur la plage
J'étais un homme seul et soudain je t'ai vu.
Tu étais comme la plage: tu étais étrangère
Je ne comprenais rien de ce que tu disais
Mais pourtant on a su dans nos yeux reconnaître
Les couleurs de l'amour quand je t'ai embrasséREFRAIN
On s'est aimé, follement aimés
La nuit descendait sur la plage
Et cachait nos corps aux indiscrets
C'était si bon de faire l'amour
Dans la nuit brune au clair de lune
Sur une plage loin de mon paysCOUPLETS
Sous les palmiers discrets d'une plage mystère
Sous les palmiers discrets d'une plage d'été
Nous étions deux enfants sur une plage étrangère
Nous étions deux amants fous d'un amour d'été.
Nous avons dépensé gaspillé nos baisers
Si bien que cet amour s'est bien vite consumé
Et nous avons compris que tout était finit
Que notre bel amour d'un coup avait vieilliREFRAIN
On s'est aimés, follement aimés.
La nuit descendait sur la plage
Et cachait tes larmes aux indiscrets
Elles m'ont laissé le goût salé
De nos corps nus et vibrant d'amour
Sur cette plage loin de mon pays
FIN
Elles m'ont laissé le goût salé
De nos corps nu et vibrant d'amour
Sur cette plage loin de ton paysN. Ghis.
Texte écrit en 2012
Tags : plage, amour, aime, étrangère, étais, pays, palmiers, penchés, discrets, baisers
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Commentaires
Avec mes grandes ailles je suis venu jeter un coup d'oeil sur la plage aux baisers
Je n'ai vu que quelques traces dans le sable faites sans doute par deux corps enlacés. Il est resté quelque chose de cette histoire, le vent n'a pas encore effacé les marques de leur fougue.
Ouf, voilà que je me prends pour un poète, hihihi
Milles excuses pour mes divagations, hihihi
Gros bisous
Jo
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Samedi 29 Juillet 2017 à 13:32
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Hello Ghislaine
Encire de très jolies choses sur ton blog, bravo
De la douceur et de la sensualité.
Croyais-tu être débarrassé de cet infâme volatile qui hante ton blog?
Que nenni, il viendra te hanter jours après jour sur ton blog
avec ses blagues d'oiseau.
Pour pouvoir dépenser gaspiller mes baisers, il faudrait que je vive jusqu'à 150 ans, hihihi
j'ai encore un peu de marge, hihihi
Amitiés
Jo
Coquin de volatile aux grandes ailes, va !
Alors, si tu trouve une belle condor à ton goût, profite bien de tous les baisers tu aimeras lui prendre et qu'elle aimera te donner... Profites bien de la vie tant que tu la tiens entre tes mains, mon ami. C'est la plus belle chose au monde, l'amour.
Mais tu es partout chez toi, chez moi! Tu le sais : tu es, et tu sera toujours le bienvenu là ou tu pourra poser tes grosses papates, tes serres, et refermer tes grandes ailes de grand condor! Amitié mon ami. Bonne soirée et bonne nuit! Ghislaine